En Corse, on trouve trois variétés de chênes présents à l’étage méso-méditerranéen (de 0 à 700 m en ubac et de 0 à 1.000 m en adret). Le chêne vert, a leccia (Quercus ilex), arbre à feuillage persistant de 5 à 20 m de haut, aimant la chaleur et le soleil, est présent dans tout le bassin méditerranéen. Ses feuilles ressemblent à celles du houx. Il vit de 200 à 500 ans.
Le chêne-liège, a sùvara (Quercus suber), est un arbre à feuillage persistant vivant sous des climats doux (températures moyennes annuelles de 12 à 19°). C’est un arbre qui vit 150 à 200 ans. Il mesure en général de 12 à 15 m de haut, les plus hauts pouvant même atteindre 40 m. On prélève son écorce qui fournit le liège tous les 9 à 15 ans.
Le chêne blanc ou pubescent, u quarciu (Quercus pubescens), est un arbre à feuillage caduque de 10 à 25 m de haut. Ses feuilles sèchent et restent en place tout l’hiver pour tomber au printemps quand les nouvelles feuilles poussent. Il vit en général plus de 500 ans.
Le chêne blanc (u quarciu) et le chêne vert (a liccia) sont deux variétés à fruits.
Le chêne-liège, a sùvara (Quercus suber), est un arbre à feuillage persistant vivant sous des climats doux (températures moyennes annuelles de 12 à 19°). C’est un arbre qui vit 150 à 200 ans. Il mesure en général de 12 à 15 m de haut, les plus hauts pouvant même atteindre 40 m. On prélève son écorce qui fournit le liège tous les 9 à 15 ans.
Le chêne blanc ou pubescent, u quarciu (Quercus pubescens), est un arbre à feuillage caduque de 10 à 25 m de haut. Ses feuilles sèchent et restent en place tout l’hiver pour tomber au printemps quand les nouvelles feuilles poussent. Il vit en général plus de 500 ans.
Le chêne blanc (u quarciu) et le chêne vert (a liccia) sont deux variétés à fruits.
Le chêne Liège
En Corse, l’exploitation du chêne-liège (Quercus suber) existait déjà dans l’antiquité et sans doute durant la préhistoire. A la fin du XIX siècle, des milliers de chênes lièges furent plantés. Les exploitants s’assuraient ainsi un revenu régulier en vendant le liège.
Aujourd’hui, quelques subéraies sont exploitées notamment dans la région de Porti Vechju. Une fois prélevé sur l’arbre le liège est trié et classé en huit catégories. Le liège servant à fabriquer les bouchons des vins les plus onéreux se classe dans les trois premières catégories. Celui de moins bonne qualité est broyé et reconstitué pour la fabrication de bouchon, de panneaux isolants et de plaques décoratives. Avant d’être vendu, le liège est empilé par catégories et sèche durant six mois. L’usine de Porti Vechju ayant fermé sa transformation n’a plus cours en Corse la production est exportée en totalité.
Aujourd’hui, quelques subéraies sont exploitées notamment dans la région de Porti Vechju. Une fois prélevé sur l’arbre le liège est trié et classé en huit catégories. Le liège servant à fabriquer les bouchons des vins les plus onéreux se classe dans les trois premières catégories. Celui de moins bonne qualité est broyé et reconstitué pour la fabrication de bouchon, de panneaux isolants et de plaques décoratives. Avant d’être vendu, le liège est empilé par catégories et sèche durant six mois. L’usine de Porti Vechju ayant fermé sa transformation n’a plus cours en Corse la production est exportée en totalité.